Production d'oeuvre d'art
A l’occasion de Printemps de l’Art Contemporain, l’Atelier Ni a le plaisir de produire et présenter
« Philæ » de Selma Lepart / Lauréate de l’appel à projet et « La tectonique des gaufres » de Julien Fargetton / Coup de cœur du jury
Ces productions sont présentées lors de l’exposition « Retour sur Terre » à
l’Atelier Ni, intégrée à la programmation de la 8ème édition du Printemps de l’Art Contemporain 2016 à Marseille.
Joanne PEREZ s’inspire de l’architecture d’un lieu et au travers de ses installations, crée un ailleurs, un entre-deux, ouvre une nouvelle dimension, et donne une nouvelle lecture de l’espace originel. Ces suspensions aériennes et lumineuses donnent à cet espace une dimen-sion organique, vivante, presque palpable.
« Le point de départ est sans doute l’histoire d’une poupée lumineuse qui me guidait dans l’obscurité… »
Ses scénographies invitent à une échappée poétique de nos univers obscurs.
Sa résidence à l’atelier Ni lui permet de poursuivre son travail plastique, aussi bien pour des commandes de luminaires in situ, que pour expérimenter de nouveaux « environnement lumineux »
Née à Annecy en 1976, John Deneuve vit et travaille à Marseille, où elle vient de publier Botte Blonde, un livre aux éditions P, et de réaliser une série de sérigraphies avec l’atelier Tchikebe.
Diplômée de l’école des Arts Décoratifs de Strasbourg en 2001, John Deneuve développe très rapidement une oeuvre protéiforme allant du dessin aux installations, en passant par la musique.
De l’un à l’autre, dans tous ces différents champs d’expression, se dessine une confrontation assumée entre le monde des adultes et celui de l’enfance. L’art de John Deneuve est « à la frontière de différents genres et catégories esthétiques, elle se pose la question des limites, entre art et non-art, bon et mauvais goût, et entre références codifiées et transgressions assumées »
(Emmanuel Lambion, 2013).
Co-production de l’Atelier Ni, des Galeries Lafayette et de Marseille Expos pour la réalisation de « Sucettes & Pomme » pour l’exposition de John Deneuve « Spectre Normal » à la Galerie du 5ème à Marseille
L’artiste Sylvain CIAVALDINI a fait appel à l’Atelier Ni pour la réalisation de son projet Rêve de Monuments, exposé à la Galerie Sator (du 20 février au 4 avril 2015).
Rêve de Monuments – 2015
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Réalisation de 5 ongles géants pour l’exposition Corps et Décors de l’artiste Agnès Accorsi au FRAC Corse (du 15 décembre 2014 au 5 mars 2015)
Corps et Décors – 2014
Crédit photo : Atelier Ni – Max Ristori
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Pour son exposition au Centre d’art contemporain intercommunal d’Istres, Pascal NAVARRO a réalisé « Tu n’es plus comme avant » accompagné par l’Atelier Ni.
Continuer la lecture de « PASCAL NAVARRO – TU N’ES PLUS COMME AVANT »
Pour son exposition à la Galerie Porte Avion, l’artiste Mary Pupet a fait appel à l’Atelier Ni pour la réalisation de l’écusson de la Monkey Bank. L’oeuvre est visible du 29 mai au 12 juillet 2014.
While Money is Dancing – 2014
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Réalisation d’un banc dessiné par la designer Gaëlle Gabillet destiné à la requalification du lieu partagé par dix-sept structures associatives du Bois de L’Aulne à Aix en Provence.
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Le Secret – 2013
Installation au Centre d’Art d’Istres
Bois brûlé, diamants en verre
210 x 170 x 260 cm
En septembre 2013, l’artiste Alain BRUNET à fait appel à l’Atelier Ni pour la réalisation de son dernier projet, « Construction du mur », qu’il a présenté au 200 RD 10 à Vauvenargues au mois d’octobre 2013.
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Le feuilleton Échelle 1:1 est un événement qui associe en moyenne 200 visiteurs à la cartographie. Il s’organise autour de sept rendez-vous du 1er avril au 13 octobre 2013 sur le territoire de Marseille-Provence 2013.
« Un système pour gérer le territoire comme dans la réalité » et cet extrait du texte de l’écrivain argentin Jorge Luis Borges, sur la volonté d’un empereur imaginaire du XVIIème siècle, nous immerge directement dans le projet du géomaticien (cartographe) Thierry KRESSMANN et du philosophe Guillaume MONSAINGEON
Continuer la lecture de « ICITUDE »
En tant que plasticienne et bijoutière contemporaine, la démarche d’Aude MEDORI est liée au média qu’elle utilise : le bijou.
En essayant de comprendre ce que signifie: « précieux », « rare », « cher », « riche »… elle questionne les valeurs qui l’entourent et tente, lorsque c’est possible de prendre position avec humour. Ce qui l’emmène souvent à réaliser des pièces importables.
En novembre 2012, la designer Marseillaise , Hélène Boularan, dite LN BOUL, fait appel à l’Atelier Ni pour être accompagnée lors de la réalisation du porte-manteau « Majordome Alfred ».
Au bord de l’étang, au milieu des roseaux un amas de fer rouillé gît. John Deneuve a repris la figure emblématique de la série télévisée Ulysse 31, Nono le Robot, fidèle compagnon de Télémaque en le transformant en une vanité. Le Nono est représenté morcelé et rouillé, effet qui va s’accentuer sous l‘action des éléments naturels durant l‘exposition sur le Domaine. Son usure comme son démembrement reflètent ceux de notre esprit critique cherchant à lutter, en vain comme Ulysse face aux dieux, à la vacuité de la culture de masse.
Continuer la lecture de « JOHN DENEUVE – No hay camino, hay que caminar »
Pour son exposition « Sérendipité » de la nécessité du voyage, l’artiste marseillais Lionel SCOCCIMARO a fait appel à l’Atelier Ni pour la réalisation de deux de ses pièces.
Independent Truck Company – 2012
Contre-plaqué, acajou et vernis, 46 x 46 x 13 cm
Continuer la lecture de « Lionel SCOCCIMARO – INDEPENDANT TRUCK COMPANY »
A l’occasion de son exposition individuelle « Jusqu’à Épuisement » à Vidéochroniques, du 18 mai au 13 juillet 2012, l’artiste Jérémy LAFFON a fait appel à l’Atelier Ni pour la réalisation de deux de ses pièces.
Continuer la lecture de « Jérémy LAFFON – PIECES D’INTERIEUR & OSSELETS »
Ce projet a donné lieu à une édition tirée à 120 exemplaires, réalisée par les Éditions du Tingre qui comporte : Une sérigraphie sur plans de la Ville de Marseille. Tracé et agrandissement de l’« Itinéraire conseillé », et 8 cartes postales de points de vue pris sur le parcours. Impression numérique (photos Antoine Rivière & The Wa). Sérigraphies signées et numérotée.
Ici, nous sommes à Marseille, la politique du tourisme a mis en évidence les mérites de la ville à travers un repère de lignes rouges sur le sol pour servir de guide, d’itinéraire … l’itinéraire est conseillé. The Wa détourne alors cette piste officielle par un mécanisme bricolé, assemblé, soudé. Cet objet à l’esthétique burlesque devient arme de déviance. The Wa prend son vélo et, depuis les itinéraires conseillés, détourne la piste officielle vers des domaines non politiquement corrects. Le touriste curieux peut alors partir du Vieux-Port et se retrouver dans des quartier tels que Bougainville, Félix Piat, St Mauron, … confronté à d’autres réalités. Une réalité du temps et de l’espace, une réalité qui est celle d’une observation, d’un point de vue de nouveaux mondes modernes, des mondes qui se sentent ni la Provence de Marcel Pagnol, ni la lavande, mais plutôt la misère, la violence de la modernité urbaine, qui cherche à se cacher dans nos périphéries.
Pour l’Envol, Jean-Marc MUNERELLE a fait appel à l’Atelier Ni pour réaliser cinq structures en aluminium installées entre les tours de la cité grâce à un système de câblage en inox.
« Le mouvement est un medium qui me permet de réaliser des formes et, dans le cas qui nous occupe, un objet fonctionnant sous l’impulsion du vent. Le sujet du vent devient un moyen de faire évoluer ou “faire vivre” la forme achevée que l’on peut définir comme sculpturale. »
« Le Quadrille Amoché » est une pièce de théâtre montée par la compagnie L’Individu, écrite et mise en scène par Charles-Éric PETIT et scénographiée par l’artiste Gilles DESPLANQUES. C’est avec ce dernier que l’Atelier Ni a conçu et réalisé un dispositif scénique mécanisé permettant de faire circuler des éléments de décor à travers les 10 mètres d’ouverture de scène du Théâtre Gyptis à Marseille. Notre travail a été d’imaginer une sorte de convoyeur aérien qui puisse être démontable, transportable et adaptable à différentes scènes.
Continuer la lecture de « Gilles DESPLANQUES- QUADRILLE AMOCHE »
Pour son exposition « Sérendipité » de la nécessité du voyage, l’artiste marseillais Lionel SCOCCIMARO a fait appel à l’Atelier Ni pour la réalisation de deux de ses pièces.
Continuer la lecture de « Lionel SCOCCIMARO – DECORATIVE WHITE CUBE »
« Crash Box installe le regard au centre d’une démolition par foudroyage intégral, temps fondateur d’une onde de choc. Chaque vidéo est tournée en temps réel, protégée d’une crash box et placée au cœur du bâti foudroyé. » Anne-Valérie Gasc
Le compte à rebours est réglé au 31/12/2013, date de clôture contractuelle du projet.
Depuis le début du projet, l’Atelier Ni a réalisé 13 Crash-Box, utilisées pour 4 démolitions :
Tour Plein Ciel, St Etienne 24 novembre 2011. 3 Crash-Box | Tour des Combette Decazeville 1 aout 2012. 3 Crash-Box | Silos de la Méditerranée, Port de Sète 27 mars 2013. 2 Crash-Box | La grande barre des Perrières, Mâcon 30 juin 2013. 4 Crash-Box.
Continuer la lecture de « Anne-Valérie GASC – CRASH BOX »
En octobre 2013, l’artiste David LASNIER a fait appel à l’Atelier Ni pour la réalisation de son dernier projet « Un des trois angles droits d’un triangle », sculpture au sol permettant d’utiliser la courbure de la Terre pour tracer un triangle à trois angles droits.
Continuer la lecture de « David LASNIER – UN DES TROIS ANGLES DROITS D’UN TRIANGLE »
Le 21 Janvier 1995, le système juridique français met en place une nouvelle loi pour la prévention de la malveillance dans la conception et la construction des espaces urbains.
Plus communément appelée Prévention Situationnelle cette loi impose une étude de la sécurité des projets de développement publics, des services publics et des programmes de construction.
Avec Relaxation Situationnelle, Jérôme FINO propose une traduction piratée de ces méthodes de développement pour les espaces publics et privés.
Continuer la lecture de « Jérôme FINO – RELAXATION SITUATIONNELLE »
Après avoir tenté plusieurs expériences, professionnelles et personnelles, Fabien WICKENBURG choisit de travailler le métal afin de se rapprocher de cette maîtrise originelle.
S’interrogeant sur nos modes de consommation, il réalise du mobilier métallique en usant à l’occasion du parti pris du détournement d’objets. Ses créations tentent de délivrer un message décalé, en opposant leurs fonctions actuelles à celles des éléments qui les composent. Son mobilier se veut ainsi être original et durable, comportant majoritairement des pièces uniques façonnées manuellement.
Diplômée de l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, Edith MAGNAN dirige des ateliers à la faculté d’Arts Plastiques et participe à des conférences et colloques internationaux.
Elle mène, en parallèle, une recherche doctorale sur la question de « l’Espace Pliable ». Fascinée par le rapport de l’homme avec l’espace, et plus précisément par notre condition spatiale, ses productions explorent l’idée d’un « corps-volume ». Elle tente de rendre compte d’un état de fait invisible, non quantifiable mais cependant omniprésent : notre occupation de l’espace et sa volumétrie toute particulière. L’extraction, « l’Espace Pliable », la rencontre et le mirage sont parmi ses thèmes majeurs.
